Eikyu est Akasha. Ce n’est pas une simple base de données: c’est un écosystème vivant, local-first, conçu pour comprendre l’histoire, le contexte et l’intention des informations afin de générer de la sagesse actionnable.
- Comprendre plutôt que stocker: chaque donnée est replacée dans un récit (le Métarécit) pour révéler sens, causalité et finalité.
- Mémoire immuable et événementielle: rien n’est écrasé ni supprimé; l’histoire s’écrit par ajouts successifs.
- Système durable et portable: les “cubes” sont des fichiers append-only autonomes, faciles à archiver, synchroniser et auditer.
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Dualité Phénomène/Noumène
- Phénomène: le fait concret (quoi/comment).
- Noumène: le sens et l’intention (pourquoi/finalité).
- Toute information porte ces deux faces, considérées conjointement.
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Immutabilité et traçabilité
- Le passé est fondation. Chaque action est un nouvel événement qui enrichit la trame chronologique.
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Récursivité fractale
- Tout point d’information peut contenir un sous-univers complet (emboîtements infinis et maîtrisés).
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Topologie métamorphique
- La structure interne s’adapte (cube/réseau/arbre) pour accélérer les usages réels, sans index manuels fragiles.
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Cubes (append-only)
- Fichiers horodatés par période (ex. mois) et auteur. Autonomes, auditables, transférables.
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Événements
- Enregistrements immuables: id croissant, type (phenomenon), contenu (noumenon), timestamp, intégrité (CRC).
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Timeline
- Rejeu chronologique des événements pertinents (commits, snapshots…) pour comprendre l’évolution et reconstruire un état.
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Arbre de travail (tree)
- Espace dédié aux snapshots d’un répertoire (comparaison, préparation de commit).
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Perspectives et sonar (vision)
- Agents/points de vue thématiques et recherche “résonante” dans l’espace sémantique (concept évolutif).
- Capturer des états (snapshots) et créer des commits contextualisés (type, résumé, auteur, intention).
- Rejouer l’histoire pour auditer, expliquer, comparer, apprendre.
- Transporter/archiver la connaissance de manière robuste et locale (sans serveur obligatoire).
- Servir de base à des outils narratifs: diff, rapports, vues métier, agents (“perspectives”).
- Initialiser le dépôt Akasha dans un projet (création de la structure et du cube courant).
- Inscrire l’état courant (snapshot des fichiers utiles).
- Sceller (commit) avec métadonnées et message (sens/intention).
- Consulter la timeline ou le dernier commit pour naviguer dans l’histoire.
Pour la CLI et les commandes (init, inscribe, seal, timeline, view), voir AK.md.
- Local-first: fonctionne hors-ligne; contrôle complet par l’utilisateur.
- Durabilité: append-only avec contrôle d’intégrité; index reconstruisible depuis le fichier.
- Portabilité: un cube = un artefact autoportant.
- Lisibilité/outillage: charges utiles en texte/JSON, facilement scriptables et analytiques.
- Journalisation durable d’un projet (fichiers, décisions, intentions).
- “Boîte noire” locale: tracer étapes et transformations clés.
- Archivage périodique du travail par auteur avec rejouabilité.
- Base simple pour construire des vues narratives et des analyses.
- Références/branches légères et filtres de timeline (type, texte, plage, auteur).
- Diff intégré entre snapshots successifs.
- Fusion/import/export de cubes et “univers-bulles” (clones éphémères).
- Perspectives actives (agents) et sonar sémantique.
- Adaptation d’interface par résonance (vue développeur/manager, etc.).
AGPL-3.0
Ressources
- Guide CLI: voir AK.md